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Devenir Online Business Manager avec Amélie de Duopreneur

Devenir Online Business Manager avec Amélie de Duopreneur

devenir Online Business Manager Duopreneur

J’ai eu le grand plaisir d’échanger avec Amélie, la fondatrice de Duopreneur. Ce n’est pas la première fois qu’elle partage son histoire ici. Tu trouveras le détail de son parcours dans notre article blog ici.

Dans ce nouvel épisode de podcast, nous sommes allées plus loin dans notre échange car nous avons mis l’accent sur le métier d’Online Business Manager (OBM) et Amélie a partagé son parcours en tant qu’entrepreneure et les défis qu’elle rencontre dans le développement de son entreprise.

Vanessa : Bonjour Amélie.

 

Amélie : Bonjour Vanessa. Merci de m’accueillir.

 

Vanessa : Ah, avec plaisir ! Alors c’est pas la première fois que tu vas intervenir sur le blog, mais on va garder un petit peu le suspens.. J’aimerais juste que tu te présentes, Amélie.

 

Amélie : Alors je suis Amélie Martinot, j’ai 45 ans. Je suis mariée, j’ai deux enfants, un chat qui circule souvent dans mes réunions Zoom (rires). J’habite à Abou Dabi, aux Émirats arabes unis, depuis un peu plus de 2 ans maintenant et je suis aujourd’hui : formatrice pour duopreneur. Alors je pense qu’on va avoir l’occasion de parler davantage de ce métier, que moi je nomme « duopreneur », mais peut-être que certains de tes auditeurs, et en tous les cas dont j’ai parlé sur ton blog il y a quelques mois déjà, connaîtront mieux sous l’appellation d’ « Online Business Manager », « OBM », « intégrateur » peut-être ou « bras droit » sous certaines mesures.

 

Vanessa: Ok. Oui, effectivement, pour toutes les personnes qui voudraient avoir plus d’informations sur ton parcours, parce que bien évidemment tu es aussi une personne qui est reconvertie, donc tu n’as pas toujours fait ce métier de formatrice. Donc pour toutes les personnes qui sont curieuses, et bien je mettrai le lien vers l’article de blog pour que les gens puissent comprendre un petit peu quel est ton parcours et comment tu en es arrivée là. Donc aujourd’hui, effectivement tu es formatrice. Dans ce parcours de reconversion Amélie, qu’est-ce qui t’a principalement motivée vers le métier d’OBM, comme tu l’as souligné à l’instant, et puis maintenant formatrice ? Qu’est-ce qui t’a animée profondément dans ce changement, dans ce virage ?

 

Amélie : Et c’est intéressant de voir qu’effectivement, quand on a envie de se reconvertir, on a une idée d’un métier qu’on a envie de faire, et on commence à le faire, et l’entrepreneuriat ça nous ouvre tellement de portes au fur et à mesure de ce qu’on apprend, des personnes qu’on rencontre, des clients qu’on sert. Donc tout ça, en fait, c’est venu nourrir mon cheminement. Moi j’ai commencé ma démarche de reconversion en 2017, quand je me suis installée à Boston aux États-Unis. J’étais dans un pays à des milliers de kilomètres de mon noyau d’origine, et les valeurs « famille » et « liberté » sont des valeurs super importantes pour moi, j’avais besoin de créer une activité qui pouvait venir nourrir ces valeurs-là. Donc je me suis très rapidement orientée vers tout ce qui était marketing digital. À l’époque en 2017, je me suis faite accompagner par une coach, dans ce parcours de reconversion. Je te connaissais pas encore, mais sinon j’aurais fait appel à toi. Et ça a été vraiment révélateur, et en fait je suis tombée dans la marmite du développement personnel et du marketing digital et là il y a eu un monde de possibilités qui s’est ouvert à moi. Et en fait, plus que ces possibilités-là, c’était surtout la possibilité de choisir moi-même les possibilités que j’avais envie en fait de poursuivre pour créer une activité à mon image. Et ça, ça m’avait manqué dans ma vie de salariée, j’étais quand même parfois en manque de sens, en manque de repères, pas toujours alignée, avec mes employeurs ou les entreprises même si je me suis vraiment épanouie dans mes responsabilités de responsable marketing, responsable de formation. Donc voilà, il y a tout ce cheminement en tous les cas qui est venu de l’intérieur pour aller vers un métier qui je pensais pouvait me convenir, et en travaillant sur qui j’étais, ce que j’avais envie de faire, quelles étaient mes valeurs, quelle était ma vision, quelle était la place dans le monde que j’avais envie d’occuper. J’ai eu ce déclic que, moi en fait, ce qui m’animait c’est d’être entrepreneur. Cette étiquette-là d’entrepreneur elle était déjà très forte dès le début. J’avais besoin de cette cassure par rapport à mon identité de salariée. C’était très fort pour moi, je voulais être indépendante. Et, j’avais envie d’accompagner un autre entrepreneur, dans une vision que je me faisais d’un duo, pour accompagner ce client entrepreneur dans le développement de son entreprise. Et c’est comme ça que le terme « duopreneur » est né en 2018. Dans ma réflexion sur ma reconversion, j’ai décidé que j’allais devenir duopreneur. Donc j’ai créé cette étiquette parce que je ne savais pas en fait quel était le métier que j’allais faire. Et, très vite en fait je me suis dit : « ok, j’ai envie de travailler avec des coachs, des thérapeutes, des entrepreneurs du web à impact positif, et j’ai envie de les accompagner dans ce qui était déjà ma zone de génie, que je n’avais pas vraiment identifié jusqu’à ce que je fasse ce travail de coaching, et qui était la gestion de projet, la gestion d’équipe, la gestion des opérations, le suivi des chiffres ». En fait, je pensais que j’avais un profil très littéraire mais non, j’étais aussi ouverte vers toutes ces problématiques de business, de finances, de croissance d’entreprise, de gestion. Donc voilà comment j’ai débuté mon activité. J’ai toujours voulu travailler avec des clients francophones, qui étaient essentiellement basés en Europe même si à l’époque j’habitais aux États-Unis. Et, c’est vrai qu’au début de mon activité je connaissais pas vraiment le métier d’OBM. Je connaissais évidemment les métiers d’assistante virtuelle, ou les métiers de consultant, auxquels j’avais pensé au cours de ma réflexion mais j’avais conscience que c’était pas tout à fait ce que j’avais envie de faire ni tout à fait ce que je faisais. Et donc c’est comme ça que j’ai eu cette idée de duopreneur qui m’est toujours restée. Et au détour d’une conversation, avec une assistante virtuelle américaine, j’ai appris en fait qu’il existait un métier déjà qui ressemblait fortement au mien et qui s’appelait OBM : Online Business Manager. Et ça a été une deuxième révélation, après avoir découvert le marketing digital et le développement personnel, ça a été ça : découvrir une communauté d’OBM anglophones qui avaient les mêmes problématiques que moi, le même travail que moi.. pas tout à fait quand même les mêmes problématiques, parce qu’elles accompagnaient des clients américains et moi des clients francophones, c’est pas tout à fait non plus le même état d’esprit, c’était pas non plus le même niveau de professionnalisation du business, les États-Unis étaient beaucoup plus avancés à l’époque en 2018, 2019, 2020. Donc voilà comment j’en suis venue à être duopreneur. J’ai adoré faire cette activité-là, ça m’a vraiment nourrie. 

 

Mais en fait, il y a un verbe très fort au fond de moi qui a toujours été, et je pense que c’était aussi en filigrane au fil de mes activités de salarié déjà, et dans mon activité de d’entrepreneur au début, c’est le verbe « transmettre ». Et c’était très clair pour moi dès le début que j’étais en train de faire ce métier-là, que j’adore, j’adore toujours faire ce métier-là, mais que j’étais aussi en train de le faire en observatrice, en testeuse, en exploratrice pour un jour pouvoir le transmettre et pour pouvoir vraiment permettre à d’autres personnes de pouvoir faire ce métier-là, et de pouvoir obtenir ce degré d’épanouissement que j’avais obtenu en faisant cette reconversion. Donc voilà quel a été mon cheminement jusqu’à cette envie de transmettre, et donc j’ai lancé « Duopreneur Académie » en 2021. Tout ça ça a été un cheminement, au fur et à mesure des années.

Vanessa: Ok. Alors, c’est vrai que la transmission, le partage, c’est souvent un terme qui ressort aussi beaucoup de la part de mes clientes. Aujourd’hui, il y a un élan, tu vois, de pouvoir partager, de pouvoir transmettre, donc c’est quelque chose qui est très dans l’air du temps. Si on revient sur cette partie OBM, qu’est-ce qui faisait vraiment sens pour toi dans ce métier-là ? Qu’est-ce qui te motivait ? Qu’est-ce qui faisait que le matin tu te disais : « waouh, je me lève avec envie, avec enthousiasme », c’était quoi le petit truc qui donnait finalement du sens à cette activité ?

Amélie : Alors, je pense que j’ai tout de suite adhéré à ce métier-là parce que j’avais fait un vrai travail personnel sur qui j’étais, ce que j’avais envie de faire, avec qui j’avais envie de travailler. Et ça, c’était des questions que je m’étais pas vraiment posé quand j’étais salariée parce que c’est vrai qu’on suit le rythme, on saisit des nouvelles opportunités, on saisit des nouveaux postes, on monte dans la hiérarchie, et finalement on se pose pas toutes ces questions. Et moi j’avais pas accès au développement personnel, j’étais.. des fois j’ai envie de dire j’étais « une tête complètement coupée de mes émotions » et même de mon corps tu vois, je ressentais pas tout ça en fait. Donc je sentais des tiraillements dans mon activité de salariée, je sentais que j’aimais le marketing par exemple, la communication, j’aimais profondément ce métier-là, mais je n’aimais plus la manière dont je le faisais, il y avait plus de sens. La cause que je défendais n’était plus la bonne aussi. Et puis j’étais écartelée, j’étais épuisée je pense dans ma vie de salariée, de toujours vouloir faire plus, d’être en déplacements parce que, évidemment, socialement c’est génial, les gens te regardent de l’extérieur et te disent : « oh c’est génial, tu es responsable d’un département », « ah c’est génial, tu vas encore à Paris ce weekend », mais moi juste j’avais pas envie d’aller à Paris ce weekend ! J’avais envie d’aller faire du ski avec ma famille en Haute Savoie où j’habitais. Donc, en fait, je pense que j’ai aimé ce métier d’OBM parce que je me suis laissé ce temps et cette liberté de vraiment comprendre ce que j’avais envie de faire, ce que je n’avais plus envie de faire, et avec qui j’avais envie de le faire. Donc, oui, j’aurais pu aller vers des missions qui aurait était simples pour moi, mais qui ne m’aurait pas nourrie. Par exemple j’étais capable, au début je me suis dit « bon je peux tout offrir », mais non, je ne peux pas tout offrir. J’aurais pu saisir des factures, faire de la précomptabilité, faire des tâches administratives, si tu veux, intellectuellement j’aurais pu le faire. Mais je savais que ça n’allait pas me nourrir. J’aurais pu travailler avec des entreprises locales où j’habitais aux États-Unis, dans des tâches d’administratif par exemple, mais ça je savais non plus que ça n’allait pas me nourrir, travailler encore pour des entreprises industrielles je savais que c’était plus ce que j’avais envie de faire. Donc déjà savoir que je voulais exclusivement travailler avec des coachs, à impact positif, des thérapeutes, et pas par exemple des influenceurs ou d’autres types de professions avec lesquelles j’avais moins d’affinités. Ça a été important, et c’est vecteur je pense de motivation, et je suis allée chercher des clients dont je partageais la mission, dont je partageais la vision, dont je partageais les valeurs, et ça ça a fait toute la différence en fait. Ça veut pas dire qu’il y a des moments où on en n’a pas marre, ça veut pas dire qu’il y a des moments où on pleure pas, où on n’est pas fatiguée, où on dépasse pas ses limites, où on a juste envie de dire au client qu’on ne supporte plus, mais ça veut dire que tout ce qui est autour, et ben c’est plus fort que tout en fait, c’est vraiment moteur pour moi. Et puis ça correspondait totalement à ma manière de vivre aussi, ça c’était important, c’était un incontournable quand j’ai créé mon activité : je voulais une activité qui me donnait la possibilité d’être ultra-flexible, ultra-libre, qui me stimulait intellectuellement, qui me donnait aussi un revenu qui était satisfaisant. Donc je pense que tout ça c’est des vecteurs.

Amélie : Alors, je pense que j’ai tout de suite adhéré à ce métier-là parce que j’avais fait un vrai travail personnel sur qui j’étais, ce que j’avais envie de faire, avec qui j’avais envie de travailler. Et ça, c’était des questions que je m’étais pas vraiment posé quand j’étais salariée parce que c’est vrai qu’on suit le rythme, on saisit des nouvelles opportunités, on saisit des nouveaux postes, on monte dans la hiérarchie, et finalement on se pose pas toutes ces questions. Et moi j’avais pas accès au développement personnel, j’étais.. des fois j’ai envie de dire j’étais « une tête complètement coupée de mes émotions » et même de mon corps tu vois, je ressentais pas tout ça en fait. Donc je sentais des tiraillements dans mon activité de salariée, je sentais que j’aimais le marketing par exemple, la communication, j’aimais profondément ce métier-là, mais je n’aimais plus la manière dont je le faisais, il y avait plus de sens. La cause que je défendais n’était plus la bonne aussi. Et puis j’étais écartelée, j’étais épuisée je pense dans ma vie de salariée, de toujours vouloir faire plus, d’être en déplacements parce que, évidemment, socialement c’est génial, les gens te regardent de l’extérieur et te disent : « oh c’est génial, tu es responsable d’un département », « ah c’est génial, tu vas encore à Paris ce weekend », mais moi juste j’avais pas envie d’aller à Paris ce weekend ! J’avais envie d’aller faire du ski avec ma famille en Haute Savoie où j’habitais. Donc, en fait, je pense que j’ai aimé ce métier d’OBM parce que je me suis laissé ce temps et cette liberté de vraiment comprendre ce que j’avais envie de faire, ce que je n’avais plus envie de faire, et avec qui j’avais envie de le faire. Donc, oui, j’aurais pu aller vers des missions qui aurait était simples pour moi, mais qui ne m’aurait pas nourrie. Par exemple j’étais capable, au début je me suis dit « bon je peux tout offrir », mais non, je ne peux pas tout offrir. J’aurais pu saisir des factures, faire de la précomptabilité, faire des tâches administratives, si tu veux, intellectuellement j’aurais pu le faire. Mais je savais que ça n’allait pas me nourrir. J’aurais pu travailler avec des entreprises locales où j’habitais aux États-Unis, dans des tâches d’administratif par exemple, mais ça je savais non plus que ça n’allait pas me nourrir, travailler encore pour des entreprises industrielles je savais que c’était plus ce que j’avais envie de faire. Donc déjà savoir que je voulais exclusivement travailler avec des coachs, à impact positif, des thérapeutes, et pas par exemple des influenceurs ou d’autres types de professions avec lesquelles j’avais moins d’affinités. Ça a été important, et c’est vecteur je pense de motivation, et je suis allée chercher des clients dont je partageais la mission, dont je partageais la vision, dont je partageais les valeurs, et ça ça a fait toute la différence en fait. Ça veut pas dire qu’il y a des moments où on en n’a pas marre, ça veut pas dire qu’il y a des moments où on pleure pas, où on n’est pas fatiguée, où on dépasse pas ses limites, où on a juste envie de dire au client qu’on ne supporte plus, mais ça veut dire que tout ce qui est autour, et ben c’est plus fort que tout en fait, c’est vraiment moteur pour moi. Et puis ça correspondait totalement à ma manière de vivre aussi, ça c’était important, c’était un incontournable quand j’ai créé mon activité : je voulais une activité qui me donnait la possibilité d’être ultra-flexible, ultra-libre, qui me stimulait intellectuellement, qui me donnait aussi un revenu qui était satisfaisant. Donc je pense que tout ça c’est des vecteurs.

Vanessa: Oui, alors ce qu’il faut expliquer aussi aux personnes qui vont écouter cet épisode, c’est que tu vis en concubinage avec quelqu’un qui bouge beaucoup dans le monde. Et du coup, effectivement, dans cette réflexion de « comment je crée mon environnement de travail » bah pour toi c’était impensable d’avoir quelque chose en physique.

 

Amélie : Absolument.

 

Vanessa: C’était quelque chose sur le digital, qui puisse bouger avec toi, voilà. Donc là bon effectivement il est un petit peu tard, mais tu es avec moi. Là il est 15h30, chez toi il est plus de 18h, mais effectivement c’était aussi cette flexibilité-là que tu recherches. Et c’est vrai qu’aujourd’hui dans un monde qui est en perpétuel mouvement, où j’entends aussi de nombreuses femmes qui sont mariées avec des hommes qui sont amenés à bouger et qui se disent : « mais finalement comment je peux me nourrir moi ? » parce que, finalement, une vie professionnelle c’est aussi un moyen de se réaliser soi, et bien comment l’entrepreneuriat en ligne peut être aussi une solution ? Et donc pour toi ça a été aussi cette solution de pouvoir voilà te réinventer et puis vraiment kiffer, et prendre du plaisir dans ce que tu fais, donc ça c’est vraiment super, Amélie. 

Alors, si on revenait un petit peu sur le métier d’OBM finalement. Parce que, quelqu’un qui est aujourd’hui salarié et qui peut travailler dans le marketing va se dire : « qu’est-ce que c’est que ça ? », « quel est donc ce métier mystère ? ». Donc comment tu pourrais nous le décrire finalement ? Comment tu pourrais nous vendre ce métier ?

Amélie  : Alors, c’est vrai que j’ai beaucoup parlé de marketing parce que ça vient teinter ma manière de faire ce métier-là, mais une OBM est pas une spécialiste du marketing, c’est plutôt une spécialiste des opérations. On travaille plutôt « dans » le business que sur le business de nos clients. Donc si je voulais.. En fait quand j’ai besoin de faire comprendre facilement cette profession, j’utilise une analogie avec d’autres métiers. C’est-à-dire que « je suis une OBM pour un entrepreneur », et c’est la même chose que : « le pilote a besoin d’un copilote », « le compositeur a besoin d’un chef d’orchestre », « la rockstar a besoin d’un agent ». On en connaît des duos célèbres, souvent on parle de Walt Disney qui a eu besoin de Roy Disney pour créer son empire, moi j’aime bien l’image de Céline Dion et de son mari René, tu vois. C’est-à-dire que, en fait, pour réussir dans les affaires, on a besoin de faire un un duo et le monde des petites entreprises et le monde du business en ligne ne déroge vraiment pas à cette règle. Et donc c’est ça, ma mission. C’est de former ce duo et c’est d’épauler mon client entrepreneur, je suis un véritable partenaire stratégique pour lui et je l’aide à gérer son entreprise, ses projets, son équipe, pour qu’il reste dans une dynamique de croissance de développement. Donc en fait, très souvent je dis que je suis en charge, ma mission, ma responsabilité pour mes clients, c’est que les bonnes actions soient faites au bon moment, de la bonne manière, par la bonne personne. Et ça ça englobe tous les piliers de mon activité : gestion de projets, gestion d’équipe, gestion des opérations, suivi des résultats, ça fait partie de de mon quotidien. Et, alors, c’est vrai que c’est un métier, le métier d’OBM, qui peut ressembler à des métiers d’assistant virtuel ou de community manager, parce que c’est une profession qui permet de travailler à distance, qui offre beaucoup de flexibilité, de liberté géographique aussi comme on en a parlé juste avant, mais qui est quand même différent de ces métiers-là qui sont un peu plus connus dans les nouveaux métiers du web, parce que : il nécessite d’avoir une compréhension globale vraiment des activités de l’entreprise, et il intervient à un niveau de management dans l’équipe de son client. Et on est vraiment en fait un trait d’union, j’ai envie de dire, entre la stratégie qui est portée par son client et l’exécution, qui elle est de la responsabilité de l’équipe en place chez notre client.

 

Vanessa: Oui, alors c’est très parlant et en t’écoutant, je revois aussi… Dans mes échanges avec Gwendoline, qui à la base était mon assistante virtuelle que tu as formée à ce métier-là, et c’est vrai que dans nos échanges, je la considérais à un moment donné vraiment comme mon bras droit parce que souvent je la sollicitais sur certains sujets, elle m’avait construit aussi des templates donc elle avait été un soutien sur pas mal de choses. Et puis du coup là elle a évolué, et effectivement, j’avais pas à ce moment-là la structure pour pouvoir la retenir. Donc tu l’as formée toi au métier d’OBM, donc c’est vrai que quand on est comme ça entrepreneur, oui c’est vrai qu’à un moment donné, de pouvoir, nous, rester dans notre zone de génie et pouvoir déléguer toute cette partie vraiment plus « gestion de projets, planification, à qui je délègue telle ou telle tâche etc. » c’est un vrai soutien, un vrai support. Et moi j’ai adoré cette partie-là, quand je travaillais avec Gwendoline, parce que c’est comme si on partageait aussi quelque part la charge mentale en fait. Et puis il y avait une compréhension, aussi, sur certaines thématiques, donc c’était vraiment très intéressant. 

Et, alors du coup Amélie, quelle est la typologie de personnes types qui aujourd’hui pourraient être intéressées par ce métier d’OBM ? Ou du moins quelle est la typologie de personnes qui viennent à toi ? Donc on a parlé de Gwendoline, qui était à la base assistante virtuelle, mais qui à la base encore était infirmière donc qui s’était reconvertie dans ce métier et puis, voilà, quelqu’un qui avait aussi envie d’évoluer et de grandir, donc on passe d’assistante virtuelle à OBM donc il y a une évolution aussi dans la carrière. Mais quelle est la typologie type des femmes qui viennent à toi ?

Amélie : Alors, les élèves de Duppreneur Académie sont principalement des femmes. Enfin, j’ai eu deux garçons. Donc ce sont principalement des femmes, elles ont entre 30 et 50 ans, et tous les profils vraiment sont représentés. Parce qu’on n’est pas dans un début d’activité, on est vraiment sur de la reconversion, ou de l’évolution professionnelle. Et donc avant elles pouvaient être effectivement assistantes virtuelles, Customer Care manager, directrices marketing, directrices commerciales, juristes, il y a même une architecte, coachs, mamans au foyer, comptables, chefs de projet, chargés de recouvrement, enfin tout le monde a un autre passé et certaines viennent dans duopreneur académie et sont déjà OBM autoproclamées. Elles ont beaucoup appris sur le tas et elles ont envie de venir se professionnaliser et rencontrer des personnes qui font le même métier qu’elles pour échanger. Donc la plupart de ces femmes-là en fait elles sont en recherche de sens, d’équilibre, d’épanouissement, de liberté, c’est vraiment ce qui les rassemble. Et c’est vrai qu’à peu près la moitié d’entre elles, sur ces presque 70 élèves, étaient avant assistantes virtuelles. Donc soit elles ont vraiment réalisé des missions d’assistante virtuelle, ou soit elles ont commencé cette reconversion vers le métier d’assistante virtuelle et elles se sont rendu compte que c’était pas tout à fait le métier qui était fait pour elles. Et elles sont allées très naturellement vers ce métier parce que c’est celui qu’on rencontre en premier quand on a ce projet de se reconvertir dans un métier du web. Mais c’est pas un passage obligé, si tu veux. C’est pas comme dans des métiers de cuisine, par exemple où on est d’abord commis, puis chef de partie, chef de rang, je sais pas si je dis dans le bon sens, cuisinier, chef de cuisine. On n’est pas obligé en fait de passer par une activité d’assistante virtuelle. Et d’ailleurs, les différents profils n’ont pas les mêmes challenges si elles ont été assistantes virtuelles ou pas du tout assistantes virtuelles avant. Et l’autre moitié de mes élèves de Duopreneur Académie sont vraiment des salariées qui souhaitent créer leur activité. Donc soit elles ont arrêté leur activité, ou soit elles sont en transition et elles débutent leur carrière entrepreneuriale en parallèle. Et vraiment, il n’y a pas de voie royale pour devenir du duopreneur, OBM. Et c’est d’ailleurs pour ça qu’il y a autant de profils de duopreneurs que de profils de clients. Aors c’est vrai qu’il y a un socle commun de compétences, de méthodologie à maîtriser, tout ça c’est ce qu’on appelle dans le jargon « des hard skills » mais tout ça finalement ça s’apprend. Si tu veux, on peut apprendre la gestion de projet, la gestion d’équipe etc. On peut apprendre à gérer des chiffres, on peut l’apprendre dans Duopreneur Académie, mais soyons honnête on peut l’apprendre partout ailleurs,  aujourd’hui l’information elle est disponible partout. Et on va, en fait, construire aussi nos offres en fonction de notre parcours, de nos expériences, de nos expertises, de nos préférences, et aussi des opportunités qui vont se présenter à nous. Donc c’est pour ça que moi je fais beaucoup travailler les personnes sur leur activité idéale, et parce que j’ai pas envie qu’elles coupent tout de leur vie antérieure si tu veux, il y a beaucoup de compétences qui sont directement transférables. Après c’est juste une autre manière de travailler, et d’autres personnes avec qui on travaille, et puis d’autres compétences qu’on apprend au fur et à mesure. Il y a quand même des trais communs, et ces trais communs c’est plutôt dans les talents naturels, les « soft skills ». Donc par exemple, évidemment ,on a quand même un goût pour la planification, on est toujours en recherche d’optimisation, on aime la structure, on aime le management, la gestion d’entreprise, donc ça c’est plutôt des goûts. On a quand même un sens de l’organisation un peu aiguisé, on a cette capacité à avoir une vue d’ensemble, à faire des liens et à découper un projet en différentes étapes, tout ça c’est assez naturel chez nous. On a un esprit analytique j’ai envie de dire, pour pouvoir conseiller aussi le client. On a quand même un leadership naturel, parce qu’il faut pas oublier qu’on peut effectivement accompagner un solopreneur sur une partie de son activité mais on est principalement destiné à intégrer des équipes. Donc c’est des clients qui ont des petites équipes, des fois des équipes de freelances à temps partiel mais malgré tout des équipes, qu’il faut manager. On a besoin aussi j’ai envie de dire en qualités : de la curiosité quand même, de l’empathie, de la bienveillance, et une vraie intelligence émotionnelle et relationnelle, ça à mon avis c’est primordial. Et puis, voilà. Maturité, prise de recul, autonomie, tout ça ça fait partie des compétences. Donc tu vois, toutes les compétences-métier elles s’apprennent et les autres elles sont soit innées ou elles se développent en tous les cas avec la pratique.

 

Vanessa: Oui, bien évidemment les personnes qui veulent aller vers ce genre de métier elles ont déjà des talents en lien avec ce que tu viens de partager, puis aussi une appétence pour ces tâches là. Donc ça c’était intéressant de nous le partager, d’ailleurs c’était la question que j’allais te poser donc tu y es venue directement et, effectivement, c’est ce qui est pertinent. Donc ça c’est super, Amélie. Donc aujourd’hui, tu formes toutes ces personnes-là à devenir OBM, donc tu as changé ta casquette, tu as été sur le terrain. Est-ce que tu gardes quand même un pied sur le terrain ? Est-ce que, dans ta posture aujourd’hui de formatrice, tu fais partie de ces personnes qui se disent « je garde quand même un pied dans le terrain pour pouvoir sentir les évolutions et pouvoir venir nourrir ma formation », ou est-ce qu’aujourd’hui tu es exclusivement sur la formation ?

Amélie : Alors ça a été un difficile choix à mener pour moi, et ça a été toute une transition dans mon activité mais surtout dans mon état d’esprit. Cette année c’est venu chercher beaucoup de résistance et de blocage chez moi, parce qu’effectivement, ben j’adore ce métier, je pense que j’ai réussi à vous partager la passion que j’ai pour ce métier-là, et j’avais cette croyance que pour être une bonne formatrice, dans la manière dont moi je forme les autres où je suis davantage une mentore pour elles, j’avais besoin d’expérimenter pour livrer de la valeur. Donc oui effectivement, tout ce que je partage en terme de compétences dans la formation, et de compétences-métier en tous les cas, il y a beaucoup de théorie, de la pratique, mais il y a aussi beaucoup d’exemples qui sont tirés de ma pratique professionnelle et de toutes ces années où j’ai fait cette profession-là. Et j’ai fait le difficile choix, cet été, d’arrêter mes accompagnements individuels. Ça a été très douloureux comme décision, mais j’étais arrivée à un stade de mon entreprise où j’avais l’impression que soit j’allais mal accompagner mes clients individuels, soit j’allais mal accompagner mes élèves. Et donc ça c’était juste pas possible pour moi. Et aussi parce que j’ai fait ce choix quand j’ai démarré mon entreprise, de pas travailler à temps complet. Ça faisait partie des non négociables pour moi. Donc ça a évolué au fur et à mesure aussi que mes enfants ont évolué, et au fur à mesure aussi que j’ai accepté de lâcher prise sur certaines choses, je dois l’avouer, ça a été aussi un travail personnel. Donc cet été, j’ai décidé de me consacrer à 100 % à Duopreneur Académie. Et, je me suis rendue compte en fait que j’arrivais à nourrir mon expérience de mes expériences passées, et aussi des échanges que je pouvais avoir avec les élèves, les anciens élèves, les clients qui viennent chercher des OBM et qui me parlent de leurs problématiques. Donc je pense que j’ai pas perdu en tous les cas de ma puissance d’accompagnement en faisant ce choix-là. Et ça a été vraiment à mon avis bénéfique pour le développement de la formation, parce qu’à partir du moment où j’ai accepté de m’y consacrer à temps complet, de mon temps disponible en tous les cas, j’ai accueilli de plus en plus d’élèves. Au lieu d’accueillir les élèves au fil de l’eau, j’ai pu les accueillir par cohortes, et donc là je me suis rendue compte en plus de la puissance d’une cohorte en fait. Quand elles arrivent en petit groupe, donc entre 10 et 15 élèves pour l’instant, il y a quelque chose de magique qui se passe entre elles. Ça change l’énergie, la dynamique, et c’est encore plus puissant. Donc pour l’instant je regrette pas, peut-être qu’un jour j’aurais envie mais pour l’instant je regrette pas. Et puis j’avais aussi envie, pour être complètement transparente, de pas avoir cette sensation que les filles pourraient croire que j’étais en en compétition ou en concurrence avec elles si tu veux. J’étais très mal à l’aise, parce qu’on regardait mon site internet et donc il y avait une page pour promouvoir la formation, et il y avait une page pour promouvoir mes propres services d’OBM. Et je me suis dit « il y a quelque chose de bizarre ». Et en plus j’avais aussi une page de matchmaking où je propose de mettre en relation des entrepreneurs qui cherchent des OBM, parce que moi je peux pas accueillir tous les entrepreneurs francophones qui cherchent une OBM, donc il y en a beaucoup qui sont en recherche. Et donc je me suis dit : « mais c’est quand même bizarre parce que j’ai pas envie qu’on croit que je m’octrois la meilleure partie et que je donne les miettes aux personnes que je forme ,ou que je puisse faire à un moment donné de la rétention d’informations ». Tu vois j’étais vraiment dans cette démarche altruiste, mais j’avais envie d’être 100 % dans cette démarche altruiste et pas me dire « est-ce que je garde ce client ou est-ce que je le propose ? », tu vois j’étais un peu désalignée.

 

 

 

Vanessa: C’est intéressant dans ton partage parce qu’on voit l’évolution aussi de l’entrepreneur et tous les challenges en fait que l’on rencontre, et c’est jamais fini. C’est toujours comme ça, à se réinventer, à réinventer son activité. Et puis dans ton partage aussi on voit à quel point le mental vient interférer. Tu vois, notre système de croyances. Donc c’est vraiment important aussi d’être accompagné, d’être challengé et à un moment donné, oui, de prendre position donc de prendre des décisions. Et une des compétences clés d’un entrepreneur, c’est de pouvoir aussi prendre des décisions.


Amélie : Absolument. D’avoir fait ce shift-là en plus, c’est pas anodin effectivement en terme de mindset. J’ai dû beaucoup travailler là-dessus. Mais aujourd’hui, je fais face à des nouvelles difficultés auxquelles je n’avais pas pensées, qui sont : comme je ne suis plus OBM, prestataire de services, je suis aujourd’hui formatrice, j’ai besoin financièrement d’accueillir beaucoup plus d’élèves que j’avais besoin d’accueillir des clients. Mon chiffre d’affaires a augmenté, mais mes dépenses de fonctionnement ont aussi augmenté de manière exponentielle, parce que j’ai plus de charges, j’ai une équipe qui travaille avec moi, j’ai plus de frais de structure, et en plus de ça je suis aujourd’hui face à un challenge que je n’avais pas auparavant qui est de : me rendre visible. De prendre la parole, de faire des partenariats, d’être visible sur les réseaux sociaux, de faire des masterclass, d’éduquer au métier. Donc tout ça en fait c’est un changement en fait de mon quotidien et de mes nouvelles problématiques, et ça on l’apprend au fur et à mesure effectivement de son évolution.

 

Vanessa: Ouais, ça c’est aussi intéressant ce partage, merci Amélie, c’est qu’effectivement à chaque palier d’évolution, on se rend compte de nouvelles difficultés. Et puis, oui effectivement par rapport aujourd’hui à ton modèle, par rapport à avant, aujourd’hui tu te retrouves à avoir plus de personnes à encadrer donc c’est différent. Et donc, pour ne pas non plus passer ton temps à travailler, bah tu es aussi amenée à déléguer donc ce qui fait que, effectivement le chiffre d’affaires augmente, mais tes charges de structure ont aussi augmenté. Et c’est ce qui peut faire aussi toute la différence, et c’est vrai qu’on voit beaucoup sur les réseaux sociaux de partage de chiffres d’affaires, et c’est très bien parce que ça montre aussi ce qui est possible, mais derrière la réalité dans les coulisses c’est que oui il y a ce chiffre d’affaires-là, mais derrière : est-ce qu’on est vraiment profitable, est-ce qu’on est rentable ? Et il faut regarder tout ça aussi, suivre ses chiffres, et donc merci de partager aussi le fait que : bah voilà, tes charges de structure ont augmenté et donc comment on peut faire pour poursuivre cette croissance tout en continuant à rester profitable et rentable dans son activité.


Amélie : Absolument parce qu’aujourd’hui ma rémunération est inférieure à ce qu’elle était lorsque j’étais uniquement prestataire de services. Donc ça je l’accepte, je sais que c’est provisoire, j’ai cette vision là, à 1 an, 3 ans et même l’année avant ma mort, et je sais du coup que c’est provisoire mais il faut être prêt en tous les cas à accepter ça. Et à gérer son entreprise différemment en fait. 


Vanessa : Et alors justement tu nous parles de vision, quelle est ta vision pour 2024 du coup Amélie ? Parce qu’avant qu’on soit à l’antenne, tu disais « ah, je suis déjà en 2024 ! ». Et effectivement ,c’est vrai que quand on est entrepreneur, dès le mois d’octobre on est déjà tourné sur 2024. Quelle est ta vision pour cette prochaine année Amélie ?

 

Amélie : Alors, je pense que le métier d’OBM va encore plus se professionnaliser en 2024. Ça va être la même chose que les métiers d’assistant virtuel, avant de Customer Care manager ou de Closer tu vois, c’est vraiment en train de se professionnaliser. Parce qu’au début on a fait ça en répondant à une demande, en étant opportuniste, en se documentant à droite à gauche, mais aujourd’hui je sens que c’est vraiment en train de se professionnaliser, il y a des techniques, il y a des modèles. Donc tout ça c’est en train d’évoluer, et je suis persuadée qu’en 2024 ce métier-là, au fur et à mesure qu’il va être de plus en plus compris, va être de plus en plus demandé. C’est un peu tu vois l’histoire de la demande qui va être de plus en plus importante au fur et à mesure que la prise de conscience du besoin sera plus évidente, en tous les cas pour nos clients ça j’en suis convaincue. Et puis, en ce qui concerne mon entreprise en 2024, et ben, évidemment j’ai cette mission, je suis missionnée pour faire connaître le métier à la Terre entière, en tous les cas en francophonie, parce que je suis convaincue que c’est une vraie opportunité pour beaucoup de femmes. En tous cas des femmes parce que j’accompagne des femmes, mais des hommes aussi, de se reconvertir. Et que ça amène un métier supplémentaire, différent, à tout le panel de métiers qui peut exister sur le web. Voilà, et j’ai envie de former encore plus de personnes à ce métier-là. Je sais qu’on en a besoin, il y a une étude aux États-Unis qui a montré que pour quatre profils de visionnaires.. Donc les profils de visionnaires ce sont nos clients qui sont créatifs, qui aiment être sous le feu des projecteurs, qui ont 1 000 idées à la minute mais qui savent pas vraiment les déployer ou qui changent tout le temps d’ avis. Donc quatre profils de visionnaires pour un seul profil d’intégrateur. Donc l’intégrateur c’est nous en tant que duopreneur, c’est nous qui nous réalisons totalement dans les coulisses, et c’est nous qui savons faire le tri dans ces 1 000 idées-là pour donner vie seulement à une poignée qui sont essentielles pour la réalisation des objectifs de notre client visionnaire. Donc quand je vois cette proportion aux États-Unis, et quand je vois qu’on suit souvent les tendances du business qui ont été initié aux États-Unis avant, je sais qu’il y a une évolution et une multiplication de ces demandes et de ces profils qui va être de plus en plus importante. 

 

Vanessa: Ok, alors on lance un appel : avis à celles qui aiment l’organisation, la gestion de projets, qui sont très pointilleuses, qui aiment les templates, la structure…

 

Amélie :  … et se planquer derrière un ordinateur ! (rires)

 

Vanessa: et se planquer derrière un ordinateur. Alors, où est-ce qu’on peut te suivre du coup Amélie ?

 

Amélie : Alors sur mon site internet qui est duopreneur.net, où il y a beaucoup de ressources gratuites pour découvrir cette profession-là. Et il y a aussi un quizz pour savoir si le métier de duopreneur, d’OBM, peu importe comment vous avez envie de l’appeler, est fait pour soi.

Et puis sur les réseaux sociaux, je suis pour l’instant beaucoup plus visible sur Instagram et mon compte c’est duopreneur__net.

 

Vanessa: Ok, super merci beaucoup Amélie pour ce temps et merci pour tous ces partages.

 

Amélie : Merci Vanessa, avec plaisir.

 

 

VDR Coaching

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